COVID-19: 10 affaires qu’on ne verra pas à l’ADISQ cette année parce qu’on regarde ça à distance
C’est ce soir qu’aura lieu le Premier gala de l’ADISQ, la première partie de notre party préféré de l’année. Il y a toujours des bonbons, on peut toujours jaser avec les prêtres qui chantent avec Mario Pelchat. C’est vraiment une belle soirée. Et en plus, ça aurait pu être pas pire, cette année de demander deux-trois affaires à un curé dans les circonstances de fin du monde qu’on vit. Bref, la déception fait partie de la vie. Elle fait surtout partie de 2020. Voici une partie de ce qu’on va manquer.
1 On ne pourra pas demander aux gens ce qu’ils ont mis dans leur sac à main.
2 On ne pourra pas capter l’essence des moments après minuit, quand y’a plus rien qui est facile pour personne.
3 On ne pourra pas être témoin du bonheur palpable qui vient avec le fait de gagner le prix d’Interprète de l’année.
4 On ne pourra pas comparer le moins beau linge des gens du Premier gala avec le linge de ceux du VRAI gala du dimanche comme en 2016.
6 On pourra pas toucher aux cheveux solides de Jonathan Painchaud comme en 2016.
7 On n’aura pas de conversation avec poético-légendaire avec Fred Pellerin qui nous explique comment il place ses Félix sur le manteau de sa cheminée. On était clairement pas à deux mètres de lui, en 2015, quand il nous disait qu’il n’avait déjà plus du tout de place pour installer ses statuettes.
8 On ne pourra pas dire un mot sur le look de Claude Bégin, le plus bel homme du Québec.
9 On ne dansera pas sur Alexandrie, Alexandra de Claude François avec Philippe Fehmiu pendant que des acrobates craches du feu à l’after-party. Et, accessoirement, on n’aura pas besoin de se fabriquer une magouille de haut calibre pour rentrer à l’after-party comme on le fait depuis les 6 dernières années.
10 Surtout, on ne pourra pas faire comme en 2017 quand on a avait fait manger le plus de gagnants possible dans le même gâteau McCain dans un espoir vain de recevoir une éventuelle commandite de la compagnie de gâteau. Je pense que pour ce genre de geste, en 2020, on se ramasserait en prison.
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