Mardi soir à l’Esco, c’était le lancement de l’album dont tout le monde parle: Darlène, d’Hubert Lenoir. L’enfant prodige autrefois connu en tant que chanteur de The Seasons nous a déballé son album solo qui s’accompagne d’un roman écrit par sa copine. Il n’y avait pas moyen de se déplacer dans la petite salle tellement le monde entier voulait être là. Retour sur la soirée en 10 évènements clés.

1- Hubert a gardé son chandail pendant une demi-toune:

Hubert Lenoir/Photo: Élise Jetté

2- Après il s’est vêtu de décorations de Noël, une tenue de choix pour le mois de février: il a pu profiter des soldes.

Hubert Lenoir/Photo: Élise Jetté

3- L’auteur-compositeur-interprète a salué Vincent Gagnon, au piano, en le nommant comme le meilleur pianiste jazz n’ayant jamais existé. Dommage que Duke Ellington soit mort. Ça aurait pu faire une belle compétition.

4- Il a aussi présenté Lou-Adriane Cassidy aux voix, André Larue au saxophone et Jean-Etienne Colin-Marcoux à la batterie: «C’est pas lui qui a joué sur le disque, mais c’est le proprio du studio où on a enregistré. Je sais pas pourquoi il s’est ramassé là.»

5- Tout le monde aimait vraiment la perfo d’Hubert, sauf ce gars-là.

Candy Crush/Photo: Élise Jetté

6- Fallait pas venir à ce lancement avec l’intention d’aller aux toilettes.

Aller faire pipi ou pas?

7- Fallait pas non plus venir au spectacle si on s’attendait à voir Hubert de Hubert et Fanny. Outre le fait qu’ils fassent tous les deux sensation en ce moment, c’est pas le même gars.

8- Hubert Lenoir était pris de court devant l’intense demande de la foule qui voulait un rappel. «Allez dans un lancement de n’importe qui, même Kaïn. Ils jouent deux tounes acoustiques et c’est tout.»

9- Parmi le public, on a vu Chocolat, Cherry Chérie, Zen Bamboo, Laurence-Anne et le petit gars aux cheveux frisés qui joue dans Jérémie à VRAK. Tous venus pour acquiescer devant le talent singulier d’Hubert Lenoir.

10- Pour son rappel, il est revenu avec une toune instrumentale: «Est-ce que quelqu’un m’accorderait cette danse? C’est une chanson instrumentale et j’ai rien à faire.» Une certaine Anne a répondu présente.

Hubert et Anne/Photo: Élise Jetté

Hubert Lenoir a également mentionné à la foule qu’il était un gars de Québec sans le sou et que l’idéal serait que nous «tétions» nos festivals montréalais pour qu’ils l’embauchent. L’appel est lancé. Et la bonne nouvelle, c’est que dans les festivals, on peut aller aux toilettes.

Vous pouvez lire notre critique de l’album Darlène ici.

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