Chaque lundi, on vous envoie la dose de nouveautés locales qui ont potentiellement passé sous votre radar la semaine passée. C’est un gros buffet à volonté avec plein d’affaires: servez-vous.
Philippe B propose une petite vidéo qui fait partie de La grande nuit vidéo. Ça doit être un patchwork.
Un quatrième extrait pour l’album La pluie entre nous de Catherine Durand est disponible et nous fait nous demander si c’est pas cette dite pluie qui nous a fait passer à côté des trois autres extraits.
C’est l’Halloween la semaine prochaine, ce qui explique sans doute pourquoi Louis-Philippe Gingras veut nous faire croire aux sirènes avec son clip pour Le Boat.
C’est passé vraiment très proche que Jacques Jacobus soit en tête d’affiche du buffet tellement les patates-sourires sont nombreuses dans son clip pour Gone sur (une) trip. Mais ça aurait été trop facile.
Il y a un cruel manque de Jérémy Gabriel dans le clip I Don’t Mind de We Are Wolves. On est quand même à quatre lettres de I Don’t Care…
La vie appartient à ceux qui se lèvent tôt, mais La Nuit est à nous d’après Laurence Nerbonne pis sa gang.
Tant qu’à donner dans ce genre de philosophie: celles et ceux qui vont manquer le retour de Karkwa au MTELUS ce soir peuvent se réjouir de vivre dans le présent et profiter du travail de Julien Sagot dans le clip Désordre et désordre.
On a un clip de Boskorgï à présenter en attendant qu’ils sortent du nouveau matériel (bientôt). Ceci s’appelle Saké Nuage.
Ce n’est pas l’objectif de personne, mais s’il le faut, créons un faux beef: vu qu’ils ont gagné Le combat des bands Octane 7.0, je soupçonne que Les Monsieurs vont rivaliser avec Lydia Képinski à titre de « lauréat d’un concours ». Anyways, voici Cul-d’sac, le premier extrait de leur album à paraître vendredi.
Tant qu’à inventer des beefs: est-ce que L’Indice s’en prend à Louis-Jean Cormier avec son titre Plus fort que Saint-Michel? J’veux dire, il a fait Saint-Michel…
On a un peu attendu avant de vous présenter Missive de Aurore. On aurait pas dû. J’veux dire, y’a des petites icônes de bateaux dans les paroles. C’est suffisant pour nous charmer.