C’était le lancement du premier album de Paupière, À jamais privé de réponses, hier soir au White Wall Studio. L’évènement exclusif et mondain se passait en haut d’un escalier à inclinaison élevée et tout le gratin électro-semi-émergent était là. Retour sur un 5 à 7 où il était possible de mourir d’asphyxie de plusieurs façons.

Paupière/Photo: Élise Jetté
Paupière/Photo: Élise Jetté

Dans le blanc espace, on explore ce qui s’offre à nous comme cette plante fournie et bien ventilée:

Plante de luxe/Photo: Élise Jetté
Plante de luxe/Photo: Élise Jetté

Aussi, ce casque de moto abandonné devant un miroir afin d’être dupliqué:

De la moto/Photo: Élise Jetté
De la moto/Photo: Élise Jetté

Ce palmier souffrant de solitude:

Palmier/Photo: Élise Jetté
Palmier/Photo: Élise Jetté

Cette couverture de type  «recouvrement de cadavre» qui camoufle sûrement de grands secrets:

Couverture/Photo: Élise Jetté
Couverture/Photo: Élise Jetté

À l’étage au-dessus, on découvre une vaste terrasse où les gens s’affairent à fumer devant une large production de basilic. Paupière, on vous conseille cette recette de Ricardo ou une très grosse batch de pesto.

Du basilic en masse/Photo: Élise Jetté
Du basilic en masse/Photo: Élise Jetté

Hormis le basilic, on cultive sur cette terrasse quelques mauvaises herbes:

Cultures diverses/Photo: Élise Jetté
Cultures diverses/Photo: Élise Jetté

La courte prestation commence et le trio prévoit consommer la vodka à même la bouteille:

Vodka/Photo: Élise Jetté
Vodka/Photo: Élise Jetté

Dès les premières notes, nous sommes plongés dans une épaisse fumée rappelant le Printemps Érable. Dès lors, nous craignons de décéder d’asphyxie.

Fumée/Photo: Élise Jetté
Fumée/Photo: Élise Jetté

Les chansons entraînantes de l’album sont enchaînées par le spectaculaire trio. «Tout le monde a compris que c’était de l’impro?», dira Pierre-Luc afin que personne ne se prononce sur la mise en scène pourtant très réussie.

Pour sa part, il passe son temps à se débarrasser de ses choses durant la prestation. Il délèguera d’abord la tâche de la tambourine:

Sous-traitance/Photo: Élise Jetté
Sous-traitance/Photo: Élise Jetté

Puis il drop ses baguettes de drum.

Baguettes/Photo: Élise Jetté
Baguettes/Photo: Élise Jetté

Et son micro.

Micro échoué/Photo: Élise Jetté
Micro échoué/Photo: Élise Jetté

«Ça achève. On s’est pas vraiment parlé. C’est pas parce que vous êtes plates», nous dira-t-on avant la dernière pièce surnommée «le quatrième rappel».

Puis le tout culmine avec une déferlante performance de styromousse

Styromousse/Photo: Élise Jetté
Styromousse/Photo: Élise Jetté

Le tout se termine par une oeuvre vivante dans laquelle, une fois de plus, on craint que quelqu’un crève d’asphyxie, la chanteuse Julia, en l’occurrence, cette fois-ci.

Oeuvre vivante/Photo: Élise Jetté
Oeuvre vivante/Photo: Élise Jetté

Fait important à souligner: le buffet est d’une grande qualité comme en ont témoigné toutes ses vedettes de la musique qui se sont régalés. Radiant Baby et ce feuilleté aux épinards, par exemple:

Radiant Baby/Photo: Élise Jetté
Radiant Baby/Photo: Élise Jetté

Antoine du duo Boskorgï se délectant d’une boulette:

Boskorgï/Photo: Élise Jetté
Boskorgï/Photo: Élise Jetté

Puis, finalement, Dylarama, passionné de trempette de légumes:

Dylarama/Photo: Élise Jetté
Dylarama/Photo: Élise Jetté

À jamais privé de réponses sort ce vendredi 15 septembre:

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