Il n’y a plus de zone grise. Loud Lary Ajust prouve encore une fois qu’il est le groupe rap québ de l’heure. Après avoir rempli le Club Soda en avril dernier, les boys ont réitéré l’exploit vendredi, en faisant salle complète, mais au Métropolis cette fois.
Le samedi précédent, ils étaient présents à l’Impérial de Québec, offrant une performance tout aussi énergique, même si l’ambiance était un peu plus intime.
Les moments forts ont évidemment été nombreux : l’entrée vigoureuse et déchaînée de Rien ne va plus, les souvenirs nostalgico-sensoriels émanant de Héros et Candlewood Suites, le trash endiablé de Gruau et, évidemment, l’incroyable finale de XOXO, arrêtée subitement par un Lary/animateur de foule, puis reprise avec une énergie encore plus décapante.
À part ça, voici un résumé, en images, de ma soirée montréalaise :
1 – Le Riff Tabaracci urbain
Toujours présent lors de ce type d’événement mondain, le Riff sait se munir de plusieurs personnalités.
2 – Le Lary repenti
Accompagné d’une troupe de danse tribale et vivant l’intensité du moment, il était dur de savoir quelle émotion le Lary ressentait à cet instant.
Arborant le look renardé, le Karim a fait son apparition sur scène. Sa présence a suscité quelques interrogations, comme le laisse voir le Charmander questionneur et ses comparses aux mains levées.
Quel message se cachait derrière les multiples jeux de lumière de ce carré rougeâtre?
Nul ne le sait, mais j’ai eu l’impression d’être dans Hotline Bling de Drake.
5 – Le Monk.E flâneur
Autant à Québec qu’à Montréal, le Monk.E était présent dans la foule pour ravir ses fans. Au premier, il les gâtait à coup de disques compacts. Dans le second, il s’offrait pour de magnifiques clichés.
Sous Saoul toutes réserves.
6 – La faune gullywoodienne
Giga foule égal giga line up de vestiaire. Plusieurs choix s’offrent aux gens présents. Ma suggestion : visiter le bar avant d’entamer le projet.
Ne s’applique pas aux siesteurs.
Le show s’est continué jusqu’au métro. L’ambiance était au rendez-vous!
Bref, folle soirée dans son ensemble, comme d’hab.
Crédit photos : François Larivière
Les grands reportages peuvent aller se rhabiller.